Cancer du sein : Comment cibler les métastases propagées au cerveau?

Cancer du sein : Comment cibler les métastases propagées au cerveau?

Une étude menée par une équipe de scientifiques du Royal College of Surgeons in Ireland (RCSI), de l’University of Medicine and Health Sciences et du Beaumont Cancer Center a été publié dans la revue Nature Communications et fait état d’une nouvelle manière de traiter le cancer du sein métastatique avec métastases au cerveau. Ils ont utilisé des traitements déjà existants, les inhibiteurs de PAP, pour conduire leurs travaux.

 

Rechute du cancer du sein : métastases

cancer sein récidive métastase cerveau

La majorité des décès imputables au cancer du sein sont reliés à une récidive de la pathologie qui peut s’accompagner d’un envahissement à d’autres organes ou parties du corps, comme le cerveau. Le cancer du sein métastatique (aussi connu sous le nom de cancer secondaire) qui se propage au niveau du cerveau est une forme particulièrement agressive de la maladie, avec un pronostic généralement sombre et une espérance de vie plutôt courte.

 

Les métastases cérébrales sont des formes de localisations secondaires assez fréquentes dans les récidives de cancer du sein. Malheureusement, les options thérapeutiques sont assez limitées.

 

Les cellules tumorales du cancer mammaire sont capables de s’adapter aux différents traitements de manière immédiate ou différée, notamment selon l’expression de leurs récepteurs d’œstrogènes (RE+ ou RE-). Sur le plan du génome et du phénotype, les métastases cérébrales diffèrent de leur tumeur du sein primaire. Cette dissonance est plus marquée dans les tumeurs ER+ dites luminales. Les cancers du sein à la fois RE+ et RP+ (récepteurs de progestérone) sont les plus fréquents et sont généralement de bon pronostic. Ils répondent habituellement bien à une hormonothérapie. Les tumeurs RE+ et RP- sont plus proliférantes et de moins bon pronostic. Les tumeurs agressives du cancer du sein RE- et RP+ présentent de nombreuses altérations moléculaires.

Par ailleurs, les métastases cérébrales du cancer du sein présentent le risque de décès le plus haut, quel que soit le sous-type de cancer du sein.

Les tumeurs luminales sont moins agressives, mais présentent tout de même un nombre élevé de tumeurs mammaires métastatiques et de décès, ce qui nécessite de mieux comprendre les mécanismes moléculaires et biologiques impliqués.

Mieux comprendre le lien entre cancer du sein et métastase au cerveau

L’objectif principal de l’équipe de chercheurs irlandais a été d’identifier un traitement qui présente une bonne efficacité dans ce type de cancer du sein secondaire avec métastase au cerveau. Dans ce contexte, les scientifiques se sont focalisés sur le suivi génétique de l’évolution de la tumeur, depuis le diagnostic initial de la tumeur primaire jusqu’à l’envahissement métastatique cérébral.

 

Leurs résultats ont montré qu’environ 50 % des tumeurs du sein accomplissent des modifications dans la manière dont elles réparent leur ADN. Ces modifications pourraient fournir des points de vulnérabilité de façon à les traiter à l’aide d’un médicament déjà existant et connu, de type inhibiteurs de PARP. Les auteurs de l’étude expliquent que recourir aux inhibiteurs de PARP dans le traitement du cancer du secondaire avec métastase au cerveau ouvrirait la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour des femmes qui ne disposaient pas encore d’options de traitement satisfaisantes, tant les possibilités étaient très limitées.

Si ces premières conclusions sont intéressantes, d’autres investigations sont à prévoir, car la cohorte de patientes incluses au sein de l’étude est plutôt réduite.

Inhibiteurs de la PARP : qu’est-ce que c’est ?

 

Les traitements inhibiteurs de la PARP (poly-ADP-ribose-polymérase-1) font partie des molécules anticancéreuses des thérapies ciblées. Ils sont particulièrement utilisés dans le traitement du cancer du sein et du cancer de l’ovaire. Leur mode d’action empêche les cellules tumorales de réparer leur ADN afin de provoquer une importante instabilité génétique puis leur mort. Ils agissent en synergie avec la perte de la fonction de BRCA par les cellules cancéreuses.

 

Le bénéfice clinique de ce type de traitement est notamment intéressant chez les patientes porteuses d’une mutation génétique BRCA1 ou BRCA2, car elles présentent un risque plus élevé de développer un cancer du sein ou de l’ovaire.

 

Mais d’autres évaluations et essais sont en cours pour déterminer leur efficacité sur d’autres types de tumeurs mammaires, comme le cancer du sein triple négatif.

 

Les inhibiteurs de la PARP sont très prometteurs en oncologie, qu’ils soient envisagés comme seul traitement ou associé à de la chimiothérapie du cancer du sein ou de la radiothérapie. Toutefois, le nombre de patientes traitées grâce à cette thérapie ciblée reste faible, et le recul est encore trop court. Des études sont en effet nécessaires quant à la toxicité à long terme. La toxicité à court terme est, quant à elle, relativement bonne avec peu d’effets indésirables.

 

Bien que le cancer du sein soit habituellement de bon pronostic grâce aux progrès réalisés dans le diagnostic précoce et la prise en charge, la maladie continue de provoquer des décès. Il est donc absolument indispensable de continuer à développer de nouveaux traitements médicaux afin d’améliorer l’espérance de vie des patientes atteintes.

Cancer du sein triple négatif : un traitement expérimental prometteur

Des chercheurs de l’université de l’Arizona, aux États-Unis, ont élaboré un traitement capable de traiter le cancer du sein triple négatif avec peu, voire, pas d’effets secondaires. Cette découverte représente une avancée majeure dans la lutte contre cette forme particulièrement agressive de cancer du sein.

 

On rappelle que le cancer du sein touche près de 2,3 millions de femmes à travers le monde. 10 à 15 % de ces patientes sont diagnostiquées d’un cancer de type triple négatif très difficile à traiter avec un taux de survie au cancer du sein à 5 ans de 62 %.

 

Cancer du sein triple négatif : c’est quoi ?

cancer sein triple négatif

 

 

Les tumeurs mammaires triples négatives n’expriment aucun des trois récepteurs normalement existants dans le cancer du sein :

  • les récepteurs d’œstrogène (RO)
  • les récepteurs de progestérone (RP)
  • les récepteurs de la protéine Her2, un facteur de croissance épidermique humain

 

Cela signifie que les cellules cancéreuses de ce type de cancer mammaire ne sont pas sensibles ou influencées par les hormones. Elles n’ont aucun marqueur connu à leur surface qui pourrait répondre à un traitement ciblé existant.

 

Cette forme de cancer du sein est plutôt agressive et a tendance à toucher plus fréquemment les patientes jeunes, âgées de moins de 40 ans, ainsi que femmes de certaines origines ethniques et les patientes porteuses d’une mutation BRCA1.

 

Puisque cette tumeur mammaire n’exprime aucun des récepteurs, les options thérapeutiques permettant de la traiter sont plus restreintes. L’hormonothérapie n’est par exemple pas un traitement adapté, car elle n’aurait aucune efficacité.

 

Le cancer du sein triple négatif peut prendre plusieurs formes. Généralement, il s’agit de carcinomes canalaires infiltrants de haut grade, mais on trouve également des formes plus rares au pronostic moins sombre (carcinome médullaire, carcinome apocrine, carcinome métaplastique…).

 

Les traitements de référence sont la chirurgie telle que la tumorectomie ou la mastectomie totale (ablation des deux seins), la  radiothérapie mammaire susceptibles d’entrainer des effets secondaires et la chimiothérapie du cancer du sein qui peut elle aussi entrainer des effets indésirables.

 

Qu’est-ce qu’un récepteur du facteur de croissance épidermique (ou récepteur de l’EGF) ?

Il s’agit d’une protéine que l’on retrouve sur certaines cellules, et qui est capable de se lier à un facteur de croissance épidermique (EGF). Lorsque les deux éléments s’associent, l’EGF favorise la division et la croissance cellulaire. L’EGF et son récepteur sont par exemple impliqués dans la cicatrisation d’une plaie.

 

Après de nombreuses analyses, il semble que plus de trois quarts des patientes porteuses d’un cancer du sein triple négatif expriment le récepteur de l’EGF, ce qui permet de les cibler pour mettre au point un traitement adapté.

Une nouvelle thérapie ciblée pour le cancer du sein triple négatif ?

thérapie ciblée pour le cancer du sein triple négatif

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Cancer Gene Thérapy. Les chercheurs ont donc élaboré des agents capables de bloquer ces récepteurs pour empêcher le développement anormal des cellules cancéreuses, sans pour autant impacter les cellules saines. Le médicament de thérapie ciblée pénètre dans la cellule cancéreuse et fait obstacle à une accumulation du récepteur de l’EGF, qui semble jouer un rôle primordial dans le développement du cancer du sein métastatique et avancé.

 

Ce nouveau médicament ciblant les tumeurs du sein triple négatives a été développé grâce à la technologie du récepteur du facteur de croissance épidermique (ou récepteur de l’EGF) et testé sur des modèles animaux. Il est actuellement en attente d’approbation par la FDA (Food and Drug Administration, aux États-Unis) afin de pouvoir tester ce traitement dans le cadre d’un essai clinique de phase 1 sur des patientes.

 

Les essais réalisés sur les animaux ont montré des résultats très satisfaisants puisque non seulement les tumeurs triples négatives n’évoluaient plus, mais aussi elles régressaient, voire disparaissaient sans aucun effet secondaire toxique.

 

Grâce à cette technologie, les cellules saines sont par ailleurs épargnées, ce qui empêche l’apparition d’effets secondaires, car le traitement cible uniquement les cellules tumorales.

 

Afin de pousser les investigations, les scientifiques vont continuer d’étudier ce traitement sur un modèle métastatique dans l’attente de l’approbation auprès de la FDA. Ensuite, il faudra mener un essai de phase 1 sur un modèle humain.

 

Pour l’heure, il n’existe pas encore de traitement ciblé pour le cancer du sein triple négatif, car aucune cible notoire n’avait pu être mise en évidence.

 

La découverte de ce nouveau médicament représente donc une lueur d’espoir pour de nombreuses patientes touchées par cette forme agressive de cancer du sein, puisque nombre d’entre elles peuvent être porteuses de ce fameux récepteur du facteur de croissance épidermique.

 

Les travaux n’en sont cependant qu’à leurs débuts et il va falloir attendre les essais réalisés sur des patientes afin de mesurer la tolérance réelle. Par ailleurs, ce nouveau traitement cible le mécanisme de croissance de cancer en stoppant son développement. Le mécanisme de propagation du cancer est différent, et les chercheurs vont devoir s’assurer qu’ils peuvent l’empêcher.

Cancer du sein triple négatif : un traitement expérimental prometteur
Une étude confirme le danger particulier des cancers du sein post partum

Une étude confirme le danger particulier des cancers du sein post partum

Une nouvelle étude met en évidence le risque que constitue le diagnostic d’un cancer du sein en post-partum, alors même que les patientes semblaient avoir un bon pronostic initial.

 

Cancer du sein post-partum : des tumeurs mal évaluées ?

Les tumeurs mammaires découvertes dans les 5 ans qui suivent un accouchement sont plus à risque de propagation et plus susceptibles de devenir mortelles. Une étude récente montre qu’un accouchement récent constitue même à lui seul un facteur de risque concernant la progression de la pathologie mammaire.

 

Les résultats de cette nouvelle étude, publiés en octobre 2022, pointent du doigt les recommandations cliniques actuelles concernant les stratégies thérapeutiques des jeunes patientes atteintes d’un cancer du sein qui ne prennent pas assez en compte l’état post-partum. Elles seraient donc moins à même de prédire précisément le risque de rechute d’un cancer du sein, avec une implication non négligeable pour le pronostic vital de ces jeunes femmes.

 

L’auteur principal de l’étude, le Dr Pepperer Schedin, professeur de biologie cellulaire, du développement et du cancer de l’OHSU Knight Cancer Institute aux États-Unis, précise qu’un diagnostic de cancer du sein réalisé en post-partum est capable de faire entrer les patientes qui semblaient pourtant avoir un bon pronostic dans une catégorie de risque élevé.

 

Les scientifiques qui ont travaillé sur cette étude ont pu mettre en évidence la corrélation entre grossesses et les résultats du cancer du sein à partir d’une base de données conséquente concernant la population de l’Utah. Cette vaste base de données regroupe les dossiers de naissance et de décès au niveau de l’État, ainsi que les registres du cancer de l’État de l’Utah et les dossiers des patients provenant des hôpitaux et services ambulatoires à l’échelle de l’État.

 

Cancer du sein après accouchement : un risque accru de tumeur mammaire agressive

cancer sein après accouchement

 

Au total, 2 970 patientes touchées par un cancer du sein diagnostiqué avant l’âge de 45 ans (ou 45 ans max.) ont été incluses au sein de l’étude. Parmi ces femmes, 860 étaient nullipares. Les femmes ayant déjà accouché ont été classées selon le laps de temps écoulé entre leur dernier accouchement et le diagnostic de cancer du sein (moins de 5 ans, de 5 à 10 ans, 10 ans et plus).

 

Les femmes ayant été diagnostiquées d’un cancer du sein dans les 5 ans qui suivent leur accouchement le plus récent ont un risque de propagation de la maladie (et donc, de métastases) 50 % plus élevé que les femmes qui n’ont jamais accouché. Il en va de même pour le risque de décès lié au cancer du sein.

 

Par ailleurs, cette augmentation des risques de métastases lors d’un cancer du sein et de décès était indépendante du stade du cancer du sein ou du statut des récepteurs d’œstrogène (RO), deux indicateurs de la probable agressivité d’une tumeur mammaire que l’on utilise pour choisir la stratégie thérapeutique à adopter. On sait en effet que les cancers du sein classés RO- sont habituellement plus dangereux que les cancers du sein RO+. Or, dans les dossiers des femmes inclus au sein de l’étude, la progression de la maladie était identique pour les tumeurs RO+ et RO-.

 

Cancer du sein post-partum : une forte probabilité de métastase hépatique

tumeur mammaire cancer du sein

Au cours de précédentes recherches, l’équipe de chercheurs a pu observer comment les modifications qui s’opèrent dans le sein après un accouchement peuvent changer l’évolution de la maladie. À la fin de la période de lactation, la majorité des cellules qui sécrètent le lait meurt au cours d’un processus connu sous le nom d’involution. Il s’agit d’un phénomène inflammatoire que l’on peut assimiler par exemple à la cicatrisation de blessures. Lors des analyses réalisées sur des modèles de souris, et grâce à des échantillons de patientes atteintes d’un cancer du sein, les scientifiques ont démontré comment l’involution pouvait créer un environnement favorable au développement d’une tumeur mammaire. L’involution laisse en effet une empreinte durable dans le schéma d’activité génétique du tissu de la glande mammaire, ce qui pourrait favoriser la formation de métastases.

 

De plus, les métastases semblaient plus fréquentes dans le foie (métastases hépatiques) chez les femmes diagnostiquées d’un cancer du sein dans les 5 ans suivant un accouchement. Le foie pourrait ainsi devenir un lieu propice au regroupement de cellules cancéreuses et à la formation de lésion secondaire.

 

Les chercheurs insistent donc sur la nécessité de mieux évaluer l’état post-partum des patientes afin de réaliser des prédictions plus précises concernant l’agressivité d’une tumeur du sein. Cela permettrait de mieux guider les médecins dans le choix du traitement le plus adapté, comme la réalisation d’une chimiothérapie du cancer du sein après la mastectomie.

 

Par ailleurs, puisque les cas de cancers du sein en post-partum semblent laisser une signature génique bien particulière, il sera sans doute envisageable d’élaborer des thérapies ciblées spécifiquement adaptées à ce type de cancer.

 

Cette nouvelle étude offre donc de précieuses informations pour le suivi et le traitement de ces patientes, souvent jeunes, touchées par des formes agressives de cancer du sein.

L’effet des œstrogènes et de la progestérone sur le développement du cancer du sein

Une étude récente a été conduite sur les effets des hormones œstrogènes et progestérone dans le cancer du sein hormono-sensible. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Communications et font état d’avancées significatives pour la compréhension des mécanismes impliqués sur ce type de tumeurs mammaires, et des futures possibilités de traitement du cancer du sein.

Lire la suite

L’effet des œstrogènes et de la progestérone sur le développement du cancer du sein
Préservation de la fertilité et cancer du sein

Préservation de la fertilité et cancer du sein

Cancer du sein et grossesse ne sont pas fatalement incompatibles.

De nos jours, il existe plusieurs techniques de préservation de la fertilité disponibles pour les patientes qui ont un désir de grossesse. Chez les femmes âgées de moins de 40 ans qui souhaitent devenir mère dans le futur, ces techniques sont proposées avant de débuter les traitements du cancer. Chacune de ces méthodes est discutée avec l’équipe médicale pluridisciplinaire en vue d’une consultation d’oncofertilité.

Lire la suite

Cancer du sein : l’intérêt de la biopsie liquide pour suivre le traitement et prédire les risques d’évolution

Le cancer du sein triple négatif a la particularité d’être une pathologie très agressive et difficile à soigner. Il ne répond en effet à aucune thérapie ciblée, car il n’y a pas de marqueur spécifique connu à la surface des cellules tumorales. Ce type de tumeur a donc un pronostic plus sombre, avec une limitation des chances de survie pour les patientes.

En 2018, une étude de grande ampleur a été conduite par des scientifiques de l’« Ohio State University Comprehensive Cancer Center », aux États-Unis, sur la biopsie liquide. D’autres études ont ensuite également vu le jour à travers le monde. Cet examen permet d’analyser l’ADN tumoral en circulation dans le sang et au sein de la tumeur et permet de mieux comprendre le cancer du sein triple négatif et de prédire les risques en cas de cancer du sein métastatique.

Lire la suite

Cancer du sein : l’intérêt de la biopsie liquide pour suivre le traitement et prédire les risques d’évolution
Un gène de l’odorat encouragerait la propagation au cerveau du cancer du sein

Un gène de l’odorat encouragerait la propagation au cerveau du cancer du sein

Des scientifiques américains ont fait une découverte très intéressante. Il existerait un lien entre un gène de l’odorat et la propagation du cancer du sein au cerveau. Les résultats d’une étude publiée dans la revue iScience font état d’une trouvaille prometteuse pour le traitement des cancers du sein métastatiques.

Ce gène récepteur olfactif est nommé OR5B21, un récepteur couplé à la protéine G spécifique de la prostate. Il contribue à l’odorat qui, selon les données retrouvées par l’équipe de cancérologie et de génétique du Massachusetts General Hospital (MGH) aux États-Unis, serait impliqué dans la survenue des métastases du cancer du sein au cerveau, aux os et aux poumons. Les tests ont été pratiqués sur des souris. L’identification de ce gène permettrait aux chercheurs d’élaborer des traitements capables d’inhiber ce gène afin de réduire la formation de métastases du cancer du sein.

Lire la suite

Cancer du sein agressif : un nouveau gène identifié par des chercheurs australiens

Des scientifiques de l’institut Harry Perkins de Perth, en Australie, ont réussi à identifier un nouveau gène qui serait impliqué dans certaines formes agressives de cancer du sein, au mauvais pronostic. Les résultats de cette étude représentent un nouvel espoir pour la création de nouveaux traitements capables d’améliorer la survie des patientes touchées par ces tumeurs du sein souvent mortelles. Ils sont parus dans la revue Nature Communications en mars 2021.

Lire la suite

Cancer du sein agressif : un nouveau gène identifié par des chercheurs australiens
Cancer du sein métastatique Her2+ : une nouvelle association médicamenteuse très encourageante

Cancer du sein métastatique Her2+ : une nouvelle association médicamenteuse très encourageante

Les résultats d’un essai clinique intitulé Destiny breast-03 ont été publiés dans le New England Journal of Medecine. Ils font état d’une étude extrêmement positive pour l’évolution des traitements du cancer du sein, mais pas seulement.

Lire la suite

L’échographie mammaire: préparation, déroulement et résultats

L’échographie mammaire est un examen d’imagerie qui utilise les ultrasons pour obtenir des clichés de l’intérieur de la glande mammaire. Elle est souvent pratiquée en association d’une mammographie dans le cadre du dépistage et du suivi du cancer du sein. Elle ne peut constituer le seul examen sur lequel repose le diagnostic. Lire la suite

L’échographie mammaire: préparation, déroulement et résultats